EN PLEINE PANdémie DE COVID-19,
au plus près de la réalité de chaque pays.

Ils s’appellent Pavel, Haruna, Dipesh, Maxime, Yana, Tseegii, Zaya, Chi, Asanka… Ils vivent en Russie, en Birmanie, au Japon, au Sri Lanka, au Vietnam, en Mongolie, en Corée du Sud, en Chine… Ils ont tous des réalités différentes, des croyances différentes, des façons de penser différentes. Ils subissent tous les impacts du Covid-19. Ils sont tous nos amis. Certains ont peur, d’autres entraperçoivent des points positifs. Certains doivent se débrouiller seuls, d’autres ont en leur gouvernement une confiance aveugle. Sans jugement, juste en quête d’ouverture d’esprit et de ces échanges humains essence du voyage, en plein confinement, nous sommes partis en reportage dans 10 pays… depuis la maison.

À travers eux et grâce aux téléphones portables, aux réseaux sociaux & aux contenus que nous avions déjà pu obtenir sur place, on t'emmène voyager tout au long de la série « *Based on true stories » : une série d’articles quotidiens relayant divers témoignages, pour voyager au plus près de la réalité de chaque pays.

PLACE À EUX

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Pavel, Russie.

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Asanka, Sri Lanka.

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Zaya & Tseegii, Mongolie.

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Geoffrey, Japon.

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Biplav & Dipesh, Népal.

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Maxime & Yana, Corée du sud.

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Vianney, Chine.

C’est dans ce genre de moments que nous prenons davantage conscience de la réelle valeur de la liberté.

Pavel, Russie.

Le point positif est que cette pandémie nous fait prendre conscience de trois choses :
1. L’argent n’a pas de valeur.
2. Nous ne pouvons échapper à notre Karma.
3. Les gens devraient être riches de sentiments, d’expériences et d’émotions. Pas d’argent.

Asanka, Sri Lanka.

« L’Homme s’est fait une illusion et il le paie de temps à autres. […] La nature a toujours ses droits et nous devons nous y adapter pour vivre. »

Geoffrey, Japon.

Nous aimerions tant observer un vrai changement post coronavirus dans les manières de vivre, consommer et même de voyager afin de tirer une vraie leçon de la situation actuelle.

Yana, Corée du Sud.

Je reste toujours positif et j’accepte la réalité, c’est ce qui me rend plus fort et vivant.

Geoffrey, Japon.

Cette pandémie est l’occasion d’opérer des petits changements dans nos vies qui feront peut-être une grande différence, maintenant et plus tard. C’est le moment d’apprendre et de se tourner vers de nouvelles choses.

Tseegii, Mongolie.

Je pense que l’humanité avait besoin qu’on lui rafraîchisse l’esprit.

Asanka, Sri Lanka.

« […] Alors je me dis que c’est au moins ça : en stoppant le tourisme, la pandémie offre enfin un répit à la nature et à la Mongolie. »

Zaya, Mongolie

J'ai peur pour mes proches [...]. J'ai peur de lire les statistiques [...]. Mais je n'ai pas peur de vivre, ici et maintenant.
Car cette réalité nous n'avons d'autres choix que de faire avec. Par contre nous pouvons choisir la façon dont nous allons faire avec.

Pavel, Russie.

Si on sort sans raison particulière on se fait botter le cul par la police avec des bâtons. Mais bon, c’est comme ça. Tu sais, dans un pays comme le Népal les gens ne s’effraient pas facilement. Ils sont pauvres et ont d’autres problèmes. Ils peinent déjà à satisfaire des besoins élémentaires tous les jours de l’année.

Dipesh, Népal.

La situation nous inquiète davantage pour nos familles et amis en France que pour nous-mêmes en Corée. Le système de santé est moderne et sûr. Le gouvernement a mis en place une stratégie efficace, et nous avons pleine confiance.

Maxime, Corée du Sud.

Merci pour votre initiative et l’intérêt que vous montrez à collecter des informations à propos de toutes ces populations dans le monde. Cela nous donne à tous l’opportunité de partager nos pensées, ressentis, avec vous mais aussi avec les autres

Biplav, Népal.